L’Ibie conserve tant bien que mal et partiellement un filet d’eau pour la survie de batraciens et volatiles, le sentier a évolué au grès d’un propriétaire et le nouveau tracé est tout aussi caillouteux. Au premier replat, l’arche, miracle de l’érosion dominant la vallée de l’ibie et un peu plus loin le panorama qui dévoile l’étendue de la rivière. Une descente, une remontée et c’est sur un sentier botanique à l’abandon que nous atteignons la chapelle » Notre Dame d’Ajude » au milieu du bois éponyme. descente au pied du village de Lagorce où nous empruntons le lit du ruisseau de l’Oule censé alimenter l’ibie mais à sec comme les autres rus que nous avons traversé, même le réservoir des ruines du moulin ne montre trace d’humidité.